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Dakar-Agadès-Dakar : 5e victoire pour Stéphane Peterhansel
Après seize jours de course, dont une journée de repos à mi-parcours, et 8 528 km parcourus, Stéphane Peterhansel s’impose dans ce difficile et inédit Dakar - Agadès - Dakar (8 049 km, dont 6 157 km de spéciales, passant par le Sénégal, le Mali, le Niger puis revenant en sens inverse). En attaquant dès le début de l’épreuve, Stéphane Perterhansel veut montrer qu’il est le "patron" et aussi effacer le mauvais souvenir lié à son abandon de l’année précédente. En remportant six des huit premières étapes, il s’installe "confortablement" en tête du classement général et prouve que son surnom, "l’extra-terrestre", n’est pas usurpé. Dans la seconde partie de l’épreuve, Stéphane Peterhansel gère son avance et gagne même une étape de plus. Le 19 janvier, sur les bords du lac Rose à Dakar, Peterhansel parcourt les derniers kilomètres qui le séparent de la ligne d’arrivée finale. Il la franchit en vainqueur pour la cinquième fois, et égale ainsi le record de Cyril Neveu. Vice-champion du monde d’endurance grâce au team YMFEn terminant sur la 3e marche du podium du 61e Bol d’Or, après être monté sur celui des 24 heures du Mans, Yamaha se retrouve vice-champion du monde en endurance.
Une performance qui récompense le team YMF de son travail et, bien sûr, les pilotes Van Den Bosch, Lindhom et Hislop. Stéphane Peterhansel champion du monde d’enduroParmi les motos d’enduro la Yamaha WR250Z s’est taillée une belle réputation, en faisant le bonheur des pilotes privés et de différents teams. En 1997, elle arbore un N°1 des plus justifiés : c’est avec une WR250Z que Peterhansel décroche le titre de champion du monde d’enduro YAMAHA XJR1200SPJean-Claude Olivier mit en pratique l’idée de Christian Sarron et de Claude Michy (organisateur du GP de France) de présenter au public d’anciens champions lors du Grand Prix de France 1995 au Mans, et la poussa même encore plus loin, en faisant réaliser une série spéciale de XJR1200. Les douze pilotes invités, Randy Mamola, Phil Read, Kenny Roberts, Eddie Lawson, Angel Nieto, Jean-François Baldé, Giacomo Agostini, Carlos Lavado, Franco Uncini, Philippe Coulon, Dominique Sarron et Christian Sarron eurent l’agréable surprise, tout comme le public, de découvrir au dernier moment douze XJR1200 peintes aux couleurs des motos utilisées par eux en compétition. Ce spectacle généra un grand moment d’émotion chez les spectateurs présents, mais aussi chez les pilotes qui, présentation faite, partirent pour une manche de démonstration de quatre tours du circuit du Mans. Mamola, n’ayant rien perdu de son attaque et de son côté facétieux, régala le public de roues arrières, comme nombre d’autres pilotes de leur attaque, encore belle.
Suite à cette manifestation et à son immense succès, l’usine Yamaha en exploita l’idée, et des XJR1200SP aux couleurs de Kenny Roberts ou encore de Christian Sarron furent commercialisées. YAMAHA YZ400F : premières victoires pour le quatre-temps en motocross
Propulsée par un mono quatre-temps à cinq soupapes qui est doté d’un refroidissement liquide, la nouvelle bête de course de Yamaha allie avec brio l’agilité d’une 250 et la puissance d’une plus forte cylindrée. Légende : Alessio Chiodi est sacré champion du monde de cross 125 avec une YZ, les Français Vialle et Vuillemin se classent 4e et 5e. YAMAHA WR400FPour la compétition en enduro, Yamaha aligne aussi une machine propulsée par un mono quatre-temps à cinq soupapes, avec refroidissement liquide : la WR400F. XV125 Virago : les 125 deviennent des "grosses"
L’équivalence du permis auto permet aux possesseurs de ce dernier de conduire une moto de moins de 125 cm³, d’une puissance maximum de 14 ch. Les fabriquants se livrent une guerre farouche et, pour séduire, les 125 deviennent de véritables motos. Yamaha, avec sa TDR, était bien positionné. Belle et valorisante, elle fait les beaux jours de la marque. Mais sa motorisation deux-temps, certes vigoureuse, n’offre pas autant de souplesse et consomme plus qu’une motorisation quatre-temps. Yamaha réagit et propose en 1997 la XV125 Virago, un custom dans le plus pur style du genre. La XV125, avec son moteur V2, devient la reine des ventes de sa catégorie. Grâce à sa ligne et à son gabarit, elle ressemble véritablement à une moto de forte cylindrée, et elle est fortement appréciée pour cela. L’acquéreur ne roule pas avec une 125, mais avec une "vraie" moto. Fin août 1997 Yamaha est le leader du marché moto avec 38% de parts en 125 cm3 et 24,6% de parts pour les motos de plus de 125 cm³. La XV 125 Virago est en tête des ventes avec 6621 unités. YAMAHA XV650 Dragstar
Dotée d’une motorisation attrayante, d’un comportement routier sain et d’un freinage performant pour un custom, la Dragstar 650 se veut dans le plus pur style des motos US, allant même jusqu’à en reprendre la couleur "officielle". Cette nouvelle XV650 reçoit un accueil chaleureux lors de sa présentation mondiale à la presse en octobre 1996, aux États-Unis, à Palm Spring. Grâce à une gamme attrayante,
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1er S. Peterhansel XTZ850TRX
 YAMAHA l’hebdomadaire du cinquantenaire - Numéro 34 |  Peterhansel - Dakar 1997 |  Bol d’Or - 1997 |  Bol d’Or - 1997 |
 WR250Z championne du monde - 1997 |  YAMAHA XJR1200SP - 1997 |  Gamme 125 cm³ - 1997 |  Publicité XV125 - 1997 |
 YAMAHA XV125 Virago - 1997 |  YAMAHA XV650 Dragstar - 1997 |
