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J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike

 
 

Loris Baz, Corentin Perolari et Christophe Guyot pour la Vitesse, Milko Potisek, Thibault Benistant, Florian Miot, Charles Pagès et Jean-Claude Moussé pour le MX, les 25 jeunes pilotes invités au bLU cRU Camp 2019 ont fait le plein d’expérience pour la 3e journée.

J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike J3 : Interview Loris Baz, pilote Yamaha World Superbike

Loris Baz fait parti de la famille Yamaha depuis ses débuts au guidon d’une R6 en 2007 sous l’impulsion de Jean-Claude Olivier, PDG Yamaha Motor France.

Loris, c’est la première fois que tu viens au bLU cRU Camp ?
« Oui c’est ça et c’est vraiment très cool. C’est un super événement pour des jeunes pilotes ».

A ta connaissance, est-ce que tu connais d’autres événements proches de celui-là organisés par d’autres marques ?
« En vitesse, non. En cross, il y a des écoles mais à ma connaissance sans marque impliquée ».

Est-ce qu’en tant que pilote de haut niveau tu t’es demandé ce que tu pouvais leur apporter ?
« Ça se fait naturellement, je crois. Quand j’étais jeune dans les écoles de cross, j’adorai échanger avec des mecs que je voyais à la télé. Je l’ai aussi fait en vitesse parce que j’avais la chance de connaitre Fabien Foret. Je le regardais à la télé le week-end et il me donnait des conseils la semaine. C’était très sympa. On donne des conseils naturellement quand on est pilote. C’est génial de rouler avec eux car il y a parfois de grandes différences de niveau entre ceux qui roule en 125cc et d’autres en 300cc. Ça se fait naturellement d’essayer de partager son expérience avec des conseils de pilotage et de carrière, dans une bonne ambiance pendant ces quatre jours tout en restant concentré ».

Est-ce que tu les sens intimidé quand ils s’adressent à toi ?
« Je n’ai pas l’impression qu’ils se sentent impressionné ou intimidé mais content. Ils sont venus facilement au contact et poser des questions. Ils sont surtout à l’écoute et ils appliquent assez facilement les instructions ».

Ils n’ont pas encore d’idées trop arrêtées et suffisamment ouvert pour tirer le meilleur ?
« Pour eux, c’est indispensable. Aucun pilote au monde se risquerait à avoir l’esprit fermé. Même un Marquez décide toujours de se remettre en question et d’apprendre. C’est la clé quand on veut réussir dans le sport de haut niveau, mais aussi dans la vie ou dans le business. Il faut toujours se remettre en question, rester ouvert, écouter les autres et faire la part des choses ».

Pendant les roulages, sont-ils en mode selfie ou pas trop ?
« A dire vrai, ça ne se passe pas comme ça. D’ailleurs avec Christophe (Guyot) on s’en est étonné. Les téléphones portables ne sortent pas et ils restent bien concentrés. Le matin pour les roulages, ils sont focus sur l’apprentissage et ils roulent beaucoup pour tenter de s’améliorer ».

Quand on vit avec un team et que l’on participe à un Championnat du Monde, est-ce que c’est bon aussi de retrouver les sources en coachant des jeunes ?
« C’est bien de pouvoir partager avec ceux qui nous remplaceront ou ceux avec qui nous roulerons demain et transmettre. J’ai eu la chance de rouler avec des grands pilotes et un coach fantastique comme Adrien (Morillas). Je pense aussi à Jean-Claude (Olivier) qui m’a beaucoup aidé, et de pouvoir transmettre ça à des jeunes. C’est important car ça se fait souvent comme ça dans la vie et dans le sport moto ».

Est-ce qu’il y a des erreurs que l’on peut leur éviter de faire ?
« En tant que pilote, je les conseille surtout sur le pilotage, le roulage, la position sur la moto. Christophe (Guyot) est plus sur la globalité et l’équipe Yamaha sur le technique, le contrôle de la moto, contrôler les pressions et tout le reste. C’est pour éviter de commettre de erreurs, éviter la chute, quand on a un doute, rentrer au stand et ne pas rester plus longtemps en piste ».

D’ailleurs, c’est assez rare que des pilotes, de différentes disciplines, se croisent sur un même lieu comme ici ?
« Oui en effet et ça aurait marrant de se confronter sur des motos différentes à notre discipline. Hier, j’ai rencontré Charles Pagès que je n’avais jamais vu et dont je suis fan depuis toujours ».

Le dernier conseil que tu pourrais apporter à ces jeunes ?
« La chose la plus basique est de toujours travailler et se remettre en question. Ne pas négliger le plaisir surtout ».

 

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